Les mondes d'Idunn

PITCH :

Depuis le temps qu’on en parlait, c’est arrivé. Le grand événement des grands événements. Au tout début, l’humanité a vu cette rencontre d’un très bon œil. : des aliens ressemblant comme deux gouttes d’eau aux humains. Qui plus est, une race voyageuse et stellaire faisant preuve de bienveillance et d’assistance : avec des technologies puissantes et inimaginables, les nouveaux venus ont nettoyés les océans de tout ce plastique, lavés le ciel de tout ce dioxyde de carbone, purifié les champs de tous ces pesticides. Puis ils nous ont expliqués une nouvelle énergie abondante et non polluante basée sur l’attraction lunaire, la partageant généreusement. La terre remise à neuf. Nous étions sauvés. Mais par la suite tout s'est déréglé. Jusqu’à la guerre.

Les terriens ont vu qui étaient les prétendus sauveurs, ces « tribus de l’espace » : des primitifs choisissant de vivre les trois quart du temps avec très peu de technologies. Comme les anciens indiens d’Amérique du nord ou les aborigènes d’Australie, ils préféraient camper, arpenter les forêts, palabrer des heures sous un arbre, regarder les étoiles, s’adonner à une étrange réflexion poétique. Autrement dit ne rien faire. Et ces accoutrements ! on aurait dit des apaches ou des zoulous ! Ils refusèrent bientôt de nous communiquer les secrets de leurs prodigieuses technologies, laissant ces dernières dormir ridiculement dans leurs énormes vaisseaux hermétiques en orbite autour de la planète. Pas de commerce possible avec eux. Ils n’avaient même pas de monnaie ces barbares !

Nous, avec une planète rajeunie et emplie de promesses marchandes et industrielles, nous voulions des piscines dans chaque jardin, sans cesse de nouvelles versions de smartphones – et surtout nous voulions que des moteurs rugissent. Des voitures de sport, des quads, des avions de ligne, des blindés pour les inévitables conflits. Eux non. Le silence, c’est ce qu’ils aimaient. Le bruit des chutes d’eau et du vent dans les frondaisons, les plages paisibles avec la musique des vagues et des mouettes. Alors la guerre. Nos dirigeants ont décidés que nous n’avions plus besoin de ces sauvages. Que s’ils ne voulaient pas, égoïstement, partager leurs fabuleuses technologies, il fallait les leur prendre ! Pas le choix pour le bien de l’humanité. Vivre sans une montagne sans cesse croissante de bien matériels, c’était impensable.

Mais il fallait agir vite car une partie de la jeunesse se mettait à désirer vivre comme eux. Genre : sous des yourtes, sans moteurs ni internet, n’importe quoi ! Alors la guerre. Puis un jour nos gouvernants ont découverts par espionnage que « les tribus » possédaient le secret techno-médical ultime, celui conférant l’immortalité (les primitifs nommait cette dernière « idunn »*). « Idunn », un fabuleux marché en perspective. Les gens riches pourraient enfin vivre éternellement pour consommer éternellement. Alors la guerre la guerre la guerre sans merci !

Créant et déployant un monde insolite et riche, ce roman de science-fiction, tout en posant des questions actuelles, va raconter le face-à-face puis la guerre entre les terriens et les tribus des mondes d’Idunn. L’immortalité existe-t-elle ? Quel univers naîtra de son « exploitation » ? Quelle civilisation pourra surgir de ce terrible conflit ? Votre personnage, dans un camp ou dans l’autre, survivra-t-il ? Pour les auteurs et autrices de ce roman original, un grand voyage d’écriture…Et pour ses futurs lecteurs également…

*Idunn (en vieux norrois) est la déesse de l'éternelle jeunesse dans la mythologie nordique. Épouse de Bragi, le dieu de la poésie, elle détient dans un coffre des pommes merveilleuses procurant une éternelle jeunesse.

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La musique du film... Euh, du roman !

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